Résumé :
Les jeunes femmes de cinquante ans s'adresse à toutes celles qui sont victimes de ce vertige que provoque le cumul des années à cinquante ans. Car une fois apprivoisée cette certitude aiguë de la finitude, une fois éradiqués les complexes de son année de naissance, une fois digérée la multiplication endémique des traces du temps sur le cou et le haut des genoux, enfin libérée du regard des autres sur son enveloppe charnelle, alors on peut respirer, et poursuivre sa route, tranquille, au plus près de soi-même.
Et puis, si, en chemin, l'envie nous saisit de nous arrêter, de pousser les meubles, de monter le son et de danser sur la table, qui peut nous en empêcher ?
Avis :
Il semblerait que l'approche de la cinquantaine chez une femme ne soit pas une partie de plaisir. Entre les enfants qui quittent le cocon familial, les changements professionnels qui peuvent subvenir malgré elle ou encore les maris qui eux font leur crise de la [...]aine. On a moins la pêche, on n'a plus la vivacité de nos vingt ans, on a pris du poids, on n'a plus la taille mannequin, on a des signes qui montrent que l'on a pris en maturité.
Les jeunes femmes de cinquante ans s'adresse à toutes celles qui sont victimes de ce vertige que provoque le cumul des années à cinquante ans. Car une fois apprivoisée cette certitude aiguë de la finitude, une fois éradiqués les complexes de son année de naissance, une fois digérée la multiplication endémique des traces du temps sur le cou et le haut des genoux, enfin libérée du regard des autres sur son enveloppe charnelle, alors on peut respirer, et poursuivre sa route, tranquille, au plus près de soi-même.
Et puis, si, en chemin, l'envie nous saisit de nous arrêter, de pousser les meubles, de monter le son et de danser sur la table, qui peut nous en empêcher ?
Avis :
Il semblerait que l'approche de la cinquantaine chez une femme ne soit pas une partie de plaisir. Entre les enfants qui quittent le cocon familial, les changements professionnels qui peuvent subvenir malgré elle ou encore les maris qui eux font leur crise de la [...]aine. On a moins la pêche, on n'a plus la vivacité de nos vingt ans, on a pris du poids, on n'a plus la taille mannequin, on a des signes qui montrent que l'on a pris en maturité.
Avec son livre, Mylène Desclaux porte un nouveau regard sur ses dames ; elle a un regard tendre sur les femmes de cinquante ans qui l'entourent. Depuis son poste d'observation, elle fait le point sur ces femmes qui ont traversé le temps, de génération en génération, en partant de la vie de la femme de l'époque à nos jours.
Pour les nouvelles quinquas, elle nous propose une liste non exhaustive de ce qui fait du bien au moral en cas de tristesse, de colère, de découragement. Chaque émotion néfaste à sa solution. L'auteur va nous présenter dans son livre plusieurs réflexions, des conseils des anecdotes, partager avec nous ses secrets de famille, sur elle, sur son amour, sur sa quête du bien être physique et mental.
C'est un livre qui est à picorer, je ne le conseille vraiment pas à la lecture d'une traite. La première partie va nous parler sur la recherche de l'amour. La seconde partie du livre va traiter de la mode, de la beauté, du sport, du sexe une fois que la barre de la cinquantaine soit passée.
Mais en réalité, j'aurai envie de vous dire que vous ayez trente, quarante ou que vous approchez cinquante ans, les problèmes sont les mêmes du moins quasiment les mêmes sauf qu'ils évoluent au fil du temps. L'auteur est très optimiste et cela se sent à travers les mots choisis.
Tout ça pour vous dire que ce livre est plein de bonnes ondes qui se veut bien veillant et qui nous aide à relativiser la bonne humeur. Vous avez plus de cinquante ou vous approchez de l'âge fatidique ? Je vous invite à jeter un œil à ce livre.
Note : 7/10
Nombre de pages : 301
Je remercie Mon poche pour ce service de presse.