Résumé :
A Vic-sur-Cère dans le Cantal, la villa Médard en impose par son élégance, ses secrets bien gardés, ses vies forgées autour de l'industrie du parapluie et d'une femme d'affaires exceptionnelle, Hélène Vitarelle. Remarquable dirigeante, au tempérament violent et à l'amour exclusif, elle fait trembler le personnel, plier sa famille, courber les échines.
Son assassinat est un coup de tonnerre.
Tout accuse son gendre, Jacques Naucelle, qui se suicide en prison, signant ainsi l'aveu de sa culpabilité.
La seule à être persuadée de son innocence est sa maîtresse, Nina. La jeune femme ne voit qu'une personne capable de faire éclater la vérité : sa tante Joséfa. Bien que dubitative, celle-ci se laisse convaincre par sa nièce de se faire embaucher comme domestique dans la famille Vitarelle pour mener sa propre enquête.
Fine mouche sous ses rondeurs avenantes, Joséfa va mettre à nu les rouages d'une diabolique machination.
Avis :
Hélène Vitarelle est à la tête d'une entreprise de renom du parapluie. Elle est une femme d'affaires redoutée et redoutable ; elle est exigeante, autoritaire. Lorsque l'on retrouve Hélène morte, je peux vous dire que les suspects, il y en a des tonnes ! Malgré les suspects en pagaille qu'il peut y avoir, l'enquête sera vite résolue car il semblerait que ce soit le gendre de cette dernière qui l'aurait assassiné... Jacques, son gendre s'est suicidé en prison, voici une preuve de sa culpabilité toute trouvée...
Joséfa et Nina sont de la même famille, elles sont très proches et partagent beaucoup de choses ensemble. Pourtant, elles ont des caractères bien différents mais c'est justement ce qui fait que leur relation est solide. Joséfa, la tata est plus posée, calme, mature ; elle aime écouter, observer, regarder ce qui l'entoure tandis que Nina, la nièce est plus fougueuse, vivace ; elle a le sang chaud, un tempérament de feu ! Elle ferait mieux parfois de réfléchir avant d'agir. Mais leur duo de choc fonctionne parfaitement, surtout lorsqu'il s'agit de résoudre des enquêtes étonnantes.
Nina était la maîtresse de Jacques et cette dernière est persuadée qu'il est innocent. Elle est bien déterminée à prouver l'innocence de son défunt amant, parti trop tôt. Nina va convaincre Joséfa à l'aider à prouver l'innocence de son Jacques mais pour se faire, elle va devoir infiltrer la demeure des Vitarelle. Joséfa va réussir à se faire embaucher comme femme de ménage.
Le coupable n'a qu'à bien se tenir car ce sont les deux femmes qui vont faire la pluie et le beau temps dans la demeure d'Hélène ! Elles vont mener l'enquête avec beaucoup de précautions, malgré tout, elles vont faire une terrible erreur, s'attacher à certains membres de cette famille... Frédéric est le personnage le plus touchant de tous, certainement parce que c'est un jeune garçon âgé d'une dizaine d'année qui vient de perdre son papa chéri. Maintenant, il porte une terrible étiquette sur le dos "meurtrier d'Hélène", sa grand-mère qui était très autoritaire avec lui. Quand à sa maman, elle est hospitalisée car elle est fragile psychiquement parlant. N'ayant plus de repère, Frédéric est livré à lui-même mais heureusement que Joséfa est là pour aider cet enfant innocent qui n'a rien demandé. Joséfa va lui donner tout l'amour et la confiance qu'il a besoin pour grandir. Leur relation qui s'installe au fil du temps est belle à voir, on ressent tout l'amour qu'il y a entre eux.
Le nouveau roman de Sylvie Baron est une très belle découverte pour ma part, comme toujours d'ailleurs. Ici, on va en apprendre beaucoup sur l'industrie du parapluie. Vous n'avez pas idée de la complexité et du nombre de personnes qui participent à la confection de cet objet que nous utilisons dès qu'il pleut.
Par ailleurs, ça fait longtemps que je n'avais pas été surprise de la sorte dans une lecture ! Nos enquêtrices amatrices au grand cœur ont réussi à mettre en lumière, avec beaucoup d'ingéniosité le coupable mais aussi la vérité sur cette famille Vitarelle qui avait beaucoup de choses à nous révéler. La plume de l'auteur est belle, fluide, émouvante et très agréable à lire. La trame de l'histoire est bien menée et est addictive.
Tout ça pour vous dire qu'en commençant ma lecture, j'étais loin de m'imaginer la tournure qu'allait prendre cette histoire qui m'a totalement passionné ! Sylvie Baron nous offre un récit dense, fort avec une fin étonnante. A découvrir de toute urgence !
Note : 9/10
Nombre de pages : 327
Je remercie Sylvie et les Editions Calmann-Lévy pour cette lecture.
A Vic-sur-Cère dans le Cantal, la villa Médard en impose par son élégance, ses secrets bien gardés, ses vies forgées autour de l'industrie du parapluie et d'une femme d'affaires exceptionnelle, Hélène Vitarelle. Remarquable dirigeante, au tempérament violent et à l'amour exclusif, elle fait trembler le personnel, plier sa famille, courber les échines.
Son assassinat est un coup de tonnerre.
Tout accuse son gendre, Jacques Naucelle, qui se suicide en prison, signant ainsi l'aveu de sa culpabilité.
La seule à être persuadée de son innocence est sa maîtresse, Nina. La jeune femme ne voit qu'une personne capable de faire éclater la vérité : sa tante Joséfa. Bien que dubitative, celle-ci se laisse convaincre par sa nièce de se faire embaucher comme domestique dans la famille Vitarelle pour mener sa propre enquête.
Fine mouche sous ses rondeurs avenantes, Joséfa va mettre à nu les rouages d'une diabolique machination.
Avis :
Hélène Vitarelle est à la tête d'une entreprise de renom du parapluie. Elle est une femme d'affaires redoutée et redoutable ; elle est exigeante, autoritaire. Lorsque l'on retrouve Hélène morte, je peux vous dire que les suspects, il y en a des tonnes ! Malgré les suspects en pagaille qu'il peut y avoir, l'enquête sera vite résolue car il semblerait que ce soit le gendre de cette dernière qui l'aurait assassiné... Jacques, son gendre s'est suicidé en prison, voici une preuve de sa culpabilité toute trouvée...
Joséfa et Nina sont de la même famille, elles sont très proches et partagent beaucoup de choses ensemble. Pourtant, elles ont des caractères bien différents mais c'est justement ce qui fait que leur relation est solide. Joséfa, la tata est plus posée, calme, mature ; elle aime écouter, observer, regarder ce qui l'entoure tandis que Nina, la nièce est plus fougueuse, vivace ; elle a le sang chaud, un tempérament de feu ! Elle ferait mieux parfois de réfléchir avant d'agir. Mais leur duo de choc fonctionne parfaitement, surtout lorsqu'il s'agit de résoudre des enquêtes étonnantes.
Nina était la maîtresse de Jacques et cette dernière est persuadée qu'il est innocent. Elle est bien déterminée à prouver l'innocence de son défunt amant, parti trop tôt. Nina va convaincre Joséfa à l'aider à prouver l'innocence de son Jacques mais pour se faire, elle va devoir infiltrer la demeure des Vitarelle. Joséfa va réussir à se faire embaucher comme femme de ménage.
Le coupable n'a qu'à bien se tenir car ce sont les deux femmes qui vont faire la pluie et le beau temps dans la demeure d'Hélène ! Elles vont mener l'enquête avec beaucoup de précautions, malgré tout, elles vont faire une terrible erreur, s'attacher à certains membres de cette famille... Frédéric est le personnage le plus touchant de tous, certainement parce que c'est un jeune garçon âgé d'une dizaine d'année qui vient de perdre son papa chéri. Maintenant, il porte une terrible étiquette sur le dos "meurtrier d'Hélène", sa grand-mère qui était très autoritaire avec lui. Quand à sa maman, elle est hospitalisée car elle est fragile psychiquement parlant. N'ayant plus de repère, Frédéric est livré à lui-même mais heureusement que Joséfa est là pour aider cet enfant innocent qui n'a rien demandé. Joséfa va lui donner tout l'amour et la confiance qu'il a besoin pour grandir. Leur relation qui s'installe au fil du temps est belle à voir, on ressent tout l'amour qu'il y a entre eux.
Le nouveau roman de Sylvie Baron est une très belle découverte pour ma part, comme toujours d'ailleurs. Ici, on va en apprendre beaucoup sur l'industrie du parapluie. Vous n'avez pas idée de la complexité et du nombre de personnes qui participent à la confection de cet objet que nous utilisons dès qu'il pleut.
Par ailleurs, ça fait longtemps que je n'avais pas été surprise de la sorte dans une lecture ! Nos enquêtrices amatrices au grand cœur ont réussi à mettre en lumière, avec beaucoup d'ingéniosité le coupable mais aussi la vérité sur cette famille Vitarelle qui avait beaucoup de choses à nous révéler. La plume de l'auteur est belle, fluide, émouvante et très agréable à lire. La trame de l'histoire est bien menée et est addictive.
Tout ça pour vous dire qu'en commençant ma lecture, j'étais loin de m'imaginer la tournure qu'allait prendre cette histoire qui m'a totalement passionné ! Sylvie Baron nous offre un récit dense, fort avec une fin étonnante. A découvrir de toute urgence !
Note : 9/10
Nombre de pages : 327
Je remercie Sylvie et les Editions Calmann-Lévy pour cette lecture.
Un livre qui a l'air super prenant mais qui n'est cependant pas pour moi ^-^
RépondreSupprimerD'accord, ce sera pour une prochaine fois alors 😉
SupprimerJe ne connaissais pas du tout et ça me plaît !!!!
RépondreSupprimerJe pense qu'il pourrait bien te plaire !
SupprimerJe ne me serai pas forcément arrêtée dessus, mais avec ton avis ma belle, je vais radicalement changer d'avis, c'est obligé !
RépondreSupprimerOh merci beaucoup ma belle, ton commentaire me fait chaud au cœur ! 🙂
Supprimeret bien ça fait plaisir de voir que tu as été surprise par ta lecture. Malgré ton enthousiasme, je passe mon tour pour celle-ci
RépondreSupprimerCe sera pour une prochaine fois alors 🙂
SupprimerTu donnes très envie !
RépondreSupprimerMerci ! 🙂
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