Résumé :
Les restructurations d'entreprises sont des sujets graves qui défrayent souvent l'actualité. "L'affaire Nayox" se place délibérément dans ce contexte.
Une entreprise longtemps florissante se voit convoitée par des financiers véreux. Sous couvert de "restructuration", ils chargent François, un arriviste corrompu, de saborder l'usine française à leur profit.
Mais Vincent, consultant intègre, s'oppose au sacrifice de l'entreprise. On assiste à son combat acharné pour la soustraire à leur voracité. On se glisse avec lui, dans les arcanes de ce monde cruel et violent.
La justice va-t-elle finalement triompher....
Avis :
Ne vous laissez pas rebuter par cette première de couverture qui n'invite pas à la lecture de ce thriller qui est bien ficelé.
Lorsque le vieux patron de Nayox lui confie entre ses petites mains le sort de deux mille personnes, Vincent ne sait pas dans quelle galère il a mis les pieds et je peux vous dire qu'il va s'en mordre les doigts.... En effet, ce dernier ignore que des financiers véreux opérant dans l'ombre ont pour ultime but de piller l'entreprise jusqu'au dernier sou !
Faisant passer cela pour de la "restructuration", les véreux ont mandaté François, un arriviste corrompu jusqu'à la moelle pour piller les moindres ressources que peut apporter la société à leur profit sauf que voilà, le brave Vincent va se dresser sur leur route ! Ce dernier compte bien mettre des bâtons dans les roues à ces personnes. Il va mettre tous les moyens possibles et inimaginables pour mener un combat inégal afin de sauver l'entreprise et tous les employés y travaillant.
François est un homme d'affaires corrompu qui a l'intention de faire racheter Nayox par des canadiens. D'entrée de jeu, je savais que je n'allais pas apprécier le gus et vous savez quoi ? Ça n'a pas loupé ! C'est le personnage que je déteste par-dessus tout en règle général ! Il est égocentrique, sûr de lui, sans scrupule, il pourrait vendre sa mère pour sauver ses fesses et l'argent est un vice qu'il aime et qui pourrait courir à sa perte... Pour couronner le tout, il a l'intention de la faire à l'envers à ce pauvre Vincent qui est prêt à tout pour les autres. Ce sont des personnages diamétralement différent, sur tous les plans... Bref, c'est le personnage que vous adorerez détester !
Vincent est un personnage que vous prendrez plaisir à suivre ! Il est droit, honnête, gentil, serviable mais quand il va comprendre qu'on l'a piégé, il va se sentir trahi, manipulé mais n'a pas l'intention de laisser François et ses patrons détruire l'entreprise qui permet de nourrir beaucoup de familles ! C'est un personnage que l'on soutient contre vents et marées, on espère de tout cœur qu'il gagnera la bataille qu'il mène seul, contre tous. Aura-t-il les épaules assez solides pour mener ce combat perdu d'avance ? Pourra-t-il combattre les actionnaires contre le sabordage de cette entreprise ?
C'est un thriller qui nous mène au cœur d'une entreprise qui se voit menacer par les actionnaires. Nous savons que le monde des affaires est impitoyable, et bien là, ça devient une certitude avec Nayox ! L'auteur nous emmène dans un monde que je ne connaissais pas forcément mais que j'ai pris plaisir à découvrir ici.
La plume de l'auteur est belle, fluide malgré quelques petites maladresses au début mais ça c'est très vite oublié car l'intrigue est intéressante et est bien menée.
Tout ça pour vous dire que si vous n'avez pas froid aux yeux, que le monde de la finance ne vous fait pas peur, ce roman est fait pour vous !
Note : 8/10
Nombre de pages : 347
Je remercie Guy pour cette lecture.
Les restructurations d'entreprises sont des sujets graves qui défrayent souvent l'actualité. "L'affaire Nayox" se place délibérément dans ce contexte.
Une entreprise longtemps florissante se voit convoitée par des financiers véreux. Sous couvert de "restructuration", ils chargent François, un arriviste corrompu, de saborder l'usine française à leur profit.
Mais Vincent, consultant intègre, s'oppose au sacrifice de l'entreprise. On assiste à son combat acharné pour la soustraire à leur voracité. On se glisse avec lui, dans les arcanes de ce monde cruel et violent.
La justice va-t-elle finalement triompher....
Avis :
Ne vous laissez pas rebuter par cette première de couverture qui n'invite pas à la lecture de ce thriller qui est bien ficelé.
Lorsque le vieux patron de Nayox lui confie entre ses petites mains le sort de deux mille personnes, Vincent ne sait pas dans quelle galère il a mis les pieds et je peux vous dire qu'il va s'en mordre les doigts.... En effet, ce dernier ignore que des financiers véreux opérant dans l'ombre ont pour ultime but de piller l'entreprise jusqu'au dernier sou !
Faisant passer cela pour de la "restructuration", les véreux ont mandaté François, un arriviste corrompu jusqu'à la moelle pour piller les moindres ressources que peut apporter la société à leur profit sauf que voilà, le brave Vincent va se dresser sur leur route ! Ce dernier compte bien mettre des bâtons dans les roues à ces personnes. Il va mettre tous les moyens possibles et inimaginables pour mener un combat inégal afin de sauver l'entreprise et tous les employés y travaillant.
François est un homme d'affaires corrompu qui a l'intention de faire racheter Nayox par des canadiens. D'entrée de jeu, je savais que je n'allais pas apprécier le gus et vous savez quoi ? Ça n'a pas loupé ! C'est le personnage que je déteste par-dessus tout en règle général ! Il est égocentrique, sûr de lui, sans scrupule, il pourrait vendre sa mère pour sauver ses fesses et l'argent est un vice qu'il aime et qui pourrait courir à sa perte... Pour couronner le tout, il a l'intention de la faire à l'envers à ce pauvre Vincent qui est prêt à tout pour les autres. Ce sont des personnages diamétralement différent, sur tous les plans... Bref, c'est le personnage que vous adorerez détester !
Vincent est un personnage que vous prendrez plaisir à suivre ! Il est droit, honnête, gentil, serviable mais quand il va comprendre qu'on l'a piégé, il va se sentir trahi, manipulé mais n'a pas l'intention de laisser François et ses patrons détruire l'entreprise qui permet de nourrir beaucoup de familles ! C'est un personnage que l'on soutient contre vents et marées, on espère de tout cœur qu'il gagnera la bataille qu'il mène seul, contre tous. Aura-t-il les épaules assez solides pour mener ce combat perdu d'avance ? Pourra-t-il combattre les actionnaires contre le sabordage de cette entreprise ?
C'est un thriller qui nous mène au cœur d'une entreprise qui se voit menacer par les actionnaires. Nous savons que le monde des affaires est impitoyable, et bien là, ça devient une certitude avec Nayox ! L'auteur nous emmène dans un monde que je ne connaissais pas forcément mais que j'ai pris plaisir à découvrir ici.
La plume de l'auteur est belle, fluide malgré quelques petites maladresses au début mais ça c'est très vite oublié car l'intrigue est intéressante et est bien menée.
Tout ça pour vous dire que si vous n'avez pas froid aux yeux, que le monde de la finance ne vous fait pas peur, ce roman est fait pour vous !
Note : 8/10
Nombre de pages : 347
Je remercie Guy pour cette lecture.
L'univers n'est franchement pas pour moi ma belle, je doute sérieusement de parvenir à m'accrocher...
RépondreSupprimerPas de soucis ma belle, ce sera pour une prochaine fois alors :)
Supprimerj'avoue que le résumé et la couverture ne me tentait pas mais tu le vend bien!
RépondreSupprimerJe pense que tu pourrais accrocher en plus !
SupprimerMerci de la découverte mais je ne pense pas que ça soit pour moi !
RépondreSupprimerCe sera pour une prochaine fois miss ;)
SupprimerMerci Diablotine. Vous m'encouragez! Je savais que c'était un sujet difficile mais il me tenait à cœur d'ouvrir les portes sur cet univers qui nous concerne tous. Faut-il encore que j'apprenne à mieux l'introduire...
RépondreSupprimerDiablotine, tous les retours que j'ai sont, comme le votre, positifs. Pourtant le livre, à ce jour, ne passe pas la barre. Que faire?
Bien amicalement à vous,
Guy
C'est avec grand plaisir Guy !
SupprimerA mon sens, il faut faire de la publicité sur les réseaux sociaux, je ne vois que cela...
Bien à vous,
Diablotine